Lorsque f(x)f(x) est un polynome de degré n-1(^(1))n-1\left({ }^{1}\right) on a Delta_(h)^(n)=0\Delta_{h}^{n}=0 quels que soient xx et hh. Réciproquement on sait que si l'on a Delta_(h)^(n)=0\Delta_{h}^{n}=0 pour tout xx et pour tout hh, la fonction f(x)f(x), sous des hypothèses d'ailleurs assez générales, se réduit à un polynome de degré n-1(^(2))n-1\left({ }^{2}\right).
Dans son cours fait à l'Université de Cluj en Mai 1935 d'abord et dans une note des C. R. ensuite, M. Paul Montel a démontré la propriété suivante ^((3)){ }^{(3)} :
Toute fonction continue d'une variable réelle vérifiant les équations fonctionnelles
relatives à deux périodes omega_(4),omega_(2)\omega_{4}, \omega_{2} dont le rapport est irrationnel est un polynome de degré n-1n-1. ^((1)){ }^{(1)} Nous disons qu'un polynome, est de degré nn lorsque son degré effectif est au plus égal à nn.
(2) Voir : Th. Anghelutza "Sur une équation fonctionnelle caractérisant les polynomes". Mathematica t. VI (1932), p. 1-7., Tiberiu Popoviciu „Sur quelques propriétés des fonctions d'une et de deux variables réelles". Mathematica t. Vlll (1934), p. 1-85, sp. p 57.
( ^(3){ }^{3} ) Paul Montel „Sur un théorème de Jacobi" C. R. Acad. Sc. Paris, t. 201 (1935), p. 586.
M. Paul Montel a également remarqué que dans le cas n=1n=1 laz continuité en un seul point suffit pour pouvoir affirmer que la fonction se réduit à une constante. Dans la suite nous allons étendre ce résultat. au système général (1).
Remarquons que si la fonction f(x)f(x) vérifie l'équation Delta_(h)^(n)=0\Delta_{h}^{n}=0 pour un hh donné elle se réduit à un polynome de degré n-1n-1 sur les points equidistants x,x+-h,x+-2h,dotsx, x \pm h, x \pm 2 h, \ldots et ceci pour toute valeur de xx. Il en résulte qu'on a aussi Delta_(ph)^(n)=0\Delta_{p h}^{n}=0 quel que soit l'entier pp.
2. - Supposons maintenant que la fonction f(x)f(x) vérifie le système (1), omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2} étant deux nombres réels (les périodes) donnés. Nous : avons
De (2) et (3) on en déduit qu'on peut trouver un polynome P(u,v)\mathrm{P}(u, v); de deux variables uu et vv de degré n-1n-1 par rapport à chacune de ces. variables et tel que pour un xx-donné on ait
où A_(i)\mathbf{A}_{i} sont des polynomes dépendant seulement de u+vu+v et sont de degré n-1,A_(0),A_(1),dots,A_(n-1)n-1, \mathrm{~A}_{0}, \mathrm{~A}_{1}, \ldots, \mathrm{~A}_{n-1} étant de degré égal à leur indice.
Supposons maintenant que pour n-1n-1 valeurs a_(1),a_(2),dots,a_(n-1)a_{1}, a_{2}, \ldots, a_{n-1} des la constante a le polynome P(u,v)\mathrm{P}(u, v) reste borné pour u+v=au+v=a. On voit immédiatement que pour ces valeurs les coefficients A_(0),A_(1),dotsA_(2n-3)A_{0}, A_{1}, \ldots A_{2 n-3} doivent s'annuler. Il en résulte que
Pour que ce polynome ait la forme demandée il faut que b_(0)=b_(1)=,dots,=b_(n-1)=0b_{0}=b_{1}=, \ldots,=b_{n-1}=0 et on voit alors qu'on a la propriété suivante:
Si le polynome P(u,v)\mathrm{P}(u, v) reste borné pour n-1n-1 valeurs de u+vu+v il reste borné pour toute valeur donnée de u+vu+v, donc il se réduit à un: polynome de degré n-1n-1 par rapport à u+vu+v.
3. - Revenons à notre problème. Si les périodes omega^(˙)_(1),omega^(˙)_(2)\dot{\omega}_{1}, \dot{\omega}_{2} son U\mathfrak{U} dépendantes il existe deux nombres entiers pp et qq tels que omega_(4)=p omega\omega_{4}=p \omega, omega_(2)=q omega\omega_{2}=q \omega et on voit toute de suite que la fonction f(x)f(x) vérifie l'équation Delta_(omega)^(n)=0\Delta_{\omega}^{n}=0. Dans ce cas les polynomes P_(q),Q_(p)P_{q}, Q_{p} coïncident en une infinité de points et par conséquent sont identiques. Nous laissons de côté: ce cas.
Supposons donc que les périodes omega_(4),omega_(2)\omega_{4}, \omega_{2} sont indépendantes (^(4))\left({ }^{4}\right). L'ensemble des points pomega_(4)+qomega_(2),p,qp \omega_{4}+q \omega_{2}, p, q étant des entiers, est alors partout dense sur l'axe réel.
Supposons maintenant que la fonction f(x)f(x) soit bornée en un point x^(')x^{\prime}, ce qui revient à dire qu'elle est bornée dans un intervalle contenant le point x^(')x^{\prime}. Il existe alors deux suites infinies et non-boznées de nombres entiers
De (4) résulte alors que le polynome P(u,v)\mathrm{P}(u, v) doit être bornépour u+v=x^(')-xu+v=x^{\prime}-x. La fonction étant bornée en un point elle l'est en n-1n-1 points. Il en résulte que lo polynome P(u,v)\mathrm{P}(u, v) se réduit à un polynome de degré n-1n-1 par rapport à u+vu+v. La tonction f(x)f(x) coincide: donc sur les points x+pomega_(1)+qomega_(2),p,q=0.+-1,+-2,dotsx+p \omega_{1}+q \omega_{2}, p, q=0 . \pm 1, \pm 2, \ldots avec un polynome de degré n-1n-1. En particulier, on a
quels que soient les entiers pp et qq. Nous avons donc la propriété suivante :
Si les périodes omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2} sont indépendantes, si la fonction f(x)f(x)
(4) Les nombres omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2} sont indépendants lorsque l'égalité pomega_(1)+qomega_(2)=0\boldsymbol{p} \boldsymbol{\omega}_{1}+\boldsymbol{q} \boldsymbol{\omega}_{2}=0 ne peut être satisfaite en nombres entiers p\boldsymbol{p}, et q\boldsymbol{q}, que si p=q=0p=q=0. Il faut et il suffit donc que le rapport des nombres omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2} soit irrationnel.
wérifie les équations fonctionnelles
pour toute valeur de xx et quels que soient les entiers pp et qq.
Si la fonction n'est bornée en aucun point la propriété peut ne pas être vraie. Par exemple la fonction qui est égale à pqp q en un point de la forme pomega_(1)+qomega_(2)p \omega_{1}+q \omega_{2} et est nulle partout ailleurs vérifie bien lè système
Nous sommes dans les conditions du cas précédent si f(x)f(x) est continue en un point x^(')x^{\prime}. Dans ce cas P(u,v)\mathrm{P}(u, v) dépend seulement de u+vu+v et tous ces polynomes doivent coïncider au point x^(')x^{\prime}. Ces polynomes étant de degré n-1n-1 on peut énoncer la propriété suivante :
Si les périodes omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2} sont indépendantes, si la fonction f(x)f(x) vérifie les équations fonctionnelles
et est continue en n points, elle se réduit à un polynome de degrén-1.
La propriété peut ne pas être vraie si f(x)f(x) est supposée être continue en moins de nn points. Par exemple la fonction qui prend les valeurs de xx en tout point de la forme pomega^(˙)_(4)+qomega_(2)p \dot{\omega}_{4}+q \omega_{2} et est nulle partout ailleurs est bien continue pour x=0x=0, vérifie les équations Delta_(omega_(1))^(n)=0\Delta_{\omega_{1}}^{n}=0, Delta_(omega_(3))^(n)=0,quad n > 1\Delta_{\omega_{3}}^{n}=0, \quad n>1 et pourtant ne se réduit pas à un polynome. On peut d'ailleurs donner d'autres exemples de cette nature.
5. - Considérons l'équation plus générala
(5)
où les a_(i)a_{i} sont des constantes. Nous pouvons supposer a_(0)!=0,a_(n)!=0a_{0} \neq 0, a_{n} \neq 0 et que le premier membre de l'équation caractéristique
me se réduit pas à un polynome par rapport à une puissance entière > 1>1 de zz.
Nous disons que l'équation (5) est de degré n. Si 1 est une racine d'ordre kk de multiplicité de l'équation caractéristique nous disons que l'équation (5) est d'ordre kk. Si F(1)!=0\mathrm{F}(1) \neq 0 l'équation est d'ordre 0 . Une équation d'ordre et de degré nn est nécessairement de la forme
Si l'équation (5) reste vérifiée, avec les mêmes constantes a_(i)a_{i}, lorsqu'on remplace hh par mh,m=2,3,dotsm h, m=2,3, \ldots, on peut trouver un entier r\boldsymbol{r} tel que l'on ait
Des propriétés de l'équation (5) résulte d'ailleurs qu'il suffit de prendre pour mm seulement un certain nombre fini de valeurs. Ces valeurs, parmi lesquelles rr existe toujours, sont indiquées par la manière dont on obtient l'équation (6) et que nous avons précisé dans un autre travail ( ^(5){ }^{5} ). On peut choisir ces valeurs mm d'une infinité de manières: Dans la suite quand nous écrivons une équation (5) il est sous-entendu que cette équation reste vérifiée aussi quand on remplace hh par mhm h où l'entier positif mm prend un certain nombre de valeurs telles que la réduction à la forme (6) soit possible.
Le nombre hh étant fixe, on vérifie immédiatement que toute solufion polynomiale de l'équation] (5) est nécessairement un polynome arbitraire de degré k-1k-1 (si k=0k=0 toute solution de cette nature est identiquement nulle).
Cette propriété a d'ailleurs lieu sans la restriction imposée à la substitution de hh par mhm h. Autrement dit elle a lieu en prenant pour mm la seule valeur 1 .
6. Comme généralisation du prob'ème étudié nous nous proposons d'examiner le système
(5) Tib. Popoviciu "Sur certaines équations fonctionnelles définissant des polynomes", Mathematica t. X (1935), p. 197-211. Nous prions le lecteur de se rapporter à ce travajl.
formé par des équations de degré n_(1),n_(2)n_{1}, n_{2} et d'ordre k_(1),k_(2)k_{1}, k_{2}, respec _(TT){ }_{\top} tivement. Les périodes, c'est à-dire les nombres omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2}, sont supposés indépendants. Le nombre n=max.(n_(1),n_(2))n=\max .\left(n_{1}, n_{2}\right) sera appelé le degré du système "(7) et le nombre k=min.(k_(1),k_(2))k=\min .\left(k_{1}, k_{2}\right) l'ordre de ce système. Pour fixer les idées nous supposons que k=k_(1) <= k_(2)k=k_{1} \leq k_{2}.
On voit immédiatement qu'on peut trouver deux entiers r_(1),r_(2)r_{1}, r_{2} : tels que
en posant omega_(1)^(')=r_(1)omega_(1),omega_(2)^(')=r_(2)omega_(2)\omega_{1}^{\prime}=r_{1} \omega_{1}, \omega_{2}^{\prime}=r_{2} \omega_{2}. Les nombres omega_(1)^('),omega_(2)^(')\omega_{1}^{\prime}, \omega_{2}^{\prime} sont encore idépendants et nous pouvons donc énoncer la propriété suivante:
Si les périodes omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2} sont indépendantes, si lá fonction f(x)f(x) vérifie le système d'équations fonctionnelles
de degré nn, d'ordre kk et est continue en nn points, elle se réduit à unpolynome de degré k-1k-1.
On peut se demander si on ne pourrait pas réduire le nombre des points de continuité de la fonction tel que les conclusions restent les mêmes. En particulier, la continuité en kk points seulement suffit-elle pour en conclure que la fonction se réduit à un polynome?'
Nous allons démontrer qu'il en est bien ainsi.
7. - Les équations (8) nous montrent que si on donne à xx une valeur fixe et si la fonction f(x)f(x) est supposée bornée en un point. elle se réduit sur les points x+pomega_(1)^(')+qomega_(2)^('),p,q=0,+-1,+-2,dotsx+p \omega_{1}^{\prime}+q \omega_{2}^{\prime}, p, q=0, \pm 1, \pm 2, \ldots. à un polynome de degré n-1n-1. En particulier, pour un xx donné, la fonction se réduit sur les points x+somega^(˙)_(1)+pomega_(1)^(')+qomega_(2)^('),p,q=0,+-1,+-2,dotsx+s \dot{\omega}_{1}+p \omega_{1}^{\prime}+q \omega_{2}^{\prime}, p, q=0, \pm 1, \pm 2, \ldots à un polynome R_(s)(x)\mathrm{R}_{s}(x) de degré n-1n-1. Nous avons ainsi r_(1)r_{1} polynomes R_(s)(x)\mathrm{R}_{s}(x) qui peuvent être distincts, mais on a toujours R_(s)(x)=R_(s^('))(x)\mathrm{R}_{s}(x)=\mathrm{R}_{s^{\prime}}(x) s. s=s^(')(mod.r_(1))s=s^{\prime}\left(\bmod . r_{1}\right).
La fonctions f(x)f(x) vérifie, par hypothèse, la relation
pour une infinité de valeurs de xx. Il en résulte immédiatement que les égalités (9) sont vérifiées identiquement en xx. Le polynome R_(s)(x)\mathrm{R}_{s}(x) satisfait donc à une équation de la forme (5) et d'ordre kk. Il en résulte que : les polynomes R_(s)(x)\mathrm{R}_{s}(x) sont de degré k-1k-1.
De même, pour un xx donné, la fonction se réduit sur les points. x+somega_(2)+pomega_(1)^(')+qomega_(2)^('),p,q=0,+-1,+-2,dotsx+s \omega_{2}+p \omega_{1}^{\prime}+q \omega_{2}^{\prime}, p, q=0, \pm 1, \pm 2, \ldots à un polynome S_(s)(x)S_{s}(x) de degré n-1n-1. Nous avons ainsi r_(2)r_{2} polynomes S_(s)(x)S_{s}(x) qui peuvent être distincts, mais on a toujours S_(s)(x)=S_(s^('))(x)\mathrm{S}_{s}(x)=\mathrm{S}_{s^{\prime}}(x) si s=s^(')(mod.r_(2))s=s^{\prime}\left(\bmod . r_{2}\right). Or, nous avons aussi, pour chaque ss,
pour une infinité de valeurs de xx. Il en résulte que les polynomes S_(s)(x)\mathrm{S}_{s}(x) sont aussi dè degré k-1k-1.
La propriété énoncée au № 6 reste donc vraie si on suppose que la fonction f(x)f(x) est continue seulement en ll points. Dans ce cas en effet tous les polynomes R_(s)(x),S_(s)(x)\mathrm{R}_{s}(x), \mathrm{S}_{s}(x) coïncident.
En particulier, nous pouvons énoncer la proposition suivante:
Si les périodes omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2} sont indépendantes, si la fonction f(x)f(x) vérifie : les équations fonctionnelles
{:[sum_(i=0)^(n_(1))a_(1)f(x+imomega_(1))=0","quadsum_(i=0)^(n_(2))b_(i)f(x+imomega_(2))=0],[m=1","quad2","dots]:}\begin{gathered}
\sum_{i=0}^{n_{1}} a_{1} f\left(x+i m \omega_{1}\right)=0, \quad \sum_{i=0}^{n_{2}} b_{i} f\left(x+i m \omega_{2}\right)=0 \\
m=1, \quad 2, \ldots
\end{gathered}
d'ordre 7 et est continue en kk points, elle se réduit à un polynome de degré k-1k-1.
8. - La restriction relative à la substitution de hh par mhm h dans: (5) est essentielle.
qui est de degré 3 et d'ordre 1. Définissons la fonction de la manière suivante: Elle est égale à xx en un point de la forme pomega_(1)+qomega_(2)p \omega_{1}+q \omega_{2} où p,qp, q sont de même parité, est égale à -x-x en un point de la forme pomega_(1)+qomega_(2)p \omega_{1}+q \omega_{2} où p,qp, q sont de parité différente et est nulle partout ailleurs.
Cette fonction est continue au point x=0x=0, mais elle ne se réduit pas à un polynome et n'est pas une solution du système (10) à notre sens. Au contraire cette fonction vérifie les deux équations (10) seules.-
Cette même exemple nous montre que parmi les valeurs de mm il faut nécessairement que figure r. Dans ce cas en effet on peut prendre r_(1)=r_(2)=2r_{1}=r_{2}=2 et on voit que le système (8) est une conséquence des deux équations (10).
Il y a des cas particuliers où on peut beaucoup diminuer le nombres des valeurs à prendre pour mm.
Remarquons que f(x)f(x) vérifie l'équation de degré nn où au lieu de hh nous avons rhr h et "l'équation caractéristique est G(z)=0\mathrm{G}(z)=0, avec
a étant une racine primitive d'ordre rr de l'unité.
Il on résulte que si toutes les racines de l'équation caractéristique F(z)=0\mathrm{F}(z)=0 sont des racines d'ordre rr de l'unité l'équation (6) est une conséquence de la seule équation (5).
Nous pouvons donc énoncer la proposition suivante :
La fonction f(x)f(x), vérifiant les trois équations fonctionnelles
d'ordre k(k=k_(1) <= k_(2))k\left(k=k_{1} \leq k_{2}\right), se réduit à un polynome de degré k-1k-1 si
Les périodes omega_(1),omega_(2)\omega_{1}, \omega_{2} sont indépendantes. 2^(0)2^{0}. Toutes les racines de l'équation caractéristique a_(0)+a_(1)z+dotsa_{0}+a_{1} z+\ldots. dots.+a_(n_(1))z^(n_(1))=0\ldots .+a_{n_{1}} z^{n_{1}}=0 sont des racines d'ordre rr de l'unité et toutes les racines de l'équation b_(0)+b_(1)z+dots+b_(n_(2))z^(n_(2))=0b_{0}+b_{1} z+\ldots+b_{n_{2}} z^{n_{2}}=0 sont des racines d'un certain ordre de l'unité.
La fonction est continue en kk points.
Si on considère le système formé par la première et la troisième équation (avec m=1m=1 seulement) la propriété reste vraie si 1^(0)1^{0} et 2^(0)2^{0} sont vérifiées 3^(0)3^{0} La fonction est continue en nn points, n étant le degré du système.