Abstract
Let \(\left( X,\rho \right)\) be a complete matrix space, the nonlinear mapping \(\varphi:I\subset X\rightarrow X\) and the equation \(x=\varphi \left(x\right) \) with solution \(x^{\ast}\). We consider another application, \(F:X^{k}\rightarrow X\) for which we assume the diagonal coincides with \(\varphi\): \(F(x,…,x)=\varphi(x)\). In order to solve the mentioned equation we consider the iterative method \[x_{n+1}=F\left(x_{n},x_{n-1},\cdots,x_{n-k+1}\right),\] \(n=k-1,k,…\) Let \(i_{0},i_{1},….,i_{k-1}\) be a permutation of the numbers \(0,1,…,k-1\) and therefore \(i_{0}-n-k-1,~i_{1}+n-k+1,…,i_{k-1}+n-k+1\) a permutation of the numbers \(n-k+1,\ n-k+2,…,n\). Among the class of methods given by \[x_{n+1}=F\left( x_{i_{0}+n-k+1},x_{i_{1}+n-k+1},…,x_{i_{k-1}+n-k+1}\right) \] we determine the method for which the difference \(\mathcal{\rho}\left( x^{\ast},x_{n+1}\right)\) is the smallest.
Authors
Ion Păvăloiu
(Tiberiu Popoviciu Institute of Numerical Analysis)
Ioan Şerb
(Tiberiu Popoviciu Institute of Numerical Analysis)
Title
Original title (in French)
Sur des méthodes itératives optimales
English translation of the title
On optimal iterative methods
Keywords
multistep successive approximations; optimal iterative methods
Cite this paper as:
I. Păvăloiu, I. Şerb, Sur des méthodes itératives optimales, Seminar on functional analysis and numerical methods, Preprint no. 1 (1983), pp. 175-182 (in French).
About this paper
Journal
Preprint
Publisher Name
Faculty of Mathematics and Physics
Research Seminars
DOI
Not available yet.
References
[1] I. Pavaloiu, Introducere in teoria aproximarii solutiilor ecuatiilor, Ed. Dacia, Cluj-Napoca, 1976.
[2] I. Pavaloiu, Rezolvarea ecuatiilor prin interpolare, Ed. Dacia, Cluj-Napoca, 1981.
[3] Weinischke, J. H., Uber eine Klasse von Iterationsverfahren, Num. Math., 6 (1964), 395–404.
Paper (preprint) in HTML form
"Babeş-Bolyai" University
Faculty of Mathematics and Physics
Research Seminars
Seminar on Functional Analysis and Numerical Methods
Preprint Nr.1, 1983, pp. 175-182
Sur des Méthodes Itératives Optimales
Dans ce travail nous étudions des méthodes itératives pour la résolution de l’équation:
(1) |
où est une aplication donnée et est un espace métrique complet.
A l’application nous attacherons une aplication , qui a la propriété suivante:
(2) |
Pour résoudre l’équation (1) nous considerons la méthode itérative à plusieurs pas, de la forme:
(3) |
Si est une permutation des nombres , alors sera une permutation qui correspond aux nombres .
Pour une telle permutation on obtient une nouvelle méthode itérative à plusieurs pas:
(4) |
où
De cette maniere, à partir de l’application donnée , on obtient méthodes itératives, qui sont en général distinctes.
Si dans certaines conditions imposéea à l’application , toutes ces méthodes itératives convergent vers une solution de l’équation (1), le problème se pose de choisir la méthode pour laquelle on obtient la meilleure délimitation de l’erreur.
Dans ce qui suit nous supposerons que vérifie la relation suivante:
(5) |
quele que soient les éléments , où et sont données et
On remarque que si vérifie les conditions (2) et (5) alors vérifie la condition:
et du fait que , il résulte que est une contraction, c’est-à-dire que l’équation (1) a une seul solution.
D’autre part, si nous désignons par l’ensemble des fonctions vérifiant les conditions (2) et (5), alors si il résulte .
Pour on déduit de l’inégalité de Hölder:
donc .
Considérons les nombres , , qui vérifient les relations:
(6) |
et
(6′) |
Nous considérons à présent les équations
(7) |
(8) |
et
(9) |
où est une permutation quelconque des nombres .
LEMME.
Démonstration.
Soit une permutation des nombres et soit le plue grand indice pour lequel .
Nous avons évidement et .
Considérons la fonction . Alors et .
Donc a une racine positive dans l’intervalles . Il résulte que a une racine dans l’intervalle .
L’unicité de cette racine résulte immédiatement en considérant l’équation , pour laquelle si et .
Pour prouver l’inégalité (10) il suffit de montrer que et . En effet, on a:
parce que et de (6) il résulte que
pour chaque .
De manière analogue on montre que
Maintenant, nous rangeons les coefficients de (5) en ordre décroissant, c’est-à-dire:
(11) |
et nous écrivons
(11′) |
Nous considérons l’application , donnée par la relation
(12) |
où est la permutation des nombres qui correspond à la relation (11). On obtient alors de (5), pour , la condition
(13) |
quels que soient les éléments où
Pour résoudre l’équation (1) nous considerons la méthode itérative suivante:
(14) |
où .
Si nous écrivons , alors de (13) et (14) on obtient
(15) |
Si dans l’équation (7) sont données par (11′) et si est la racine positive de l’équation (7), alors .
Soit une constante positive telle que:
De (15) on obtient:
. Puisque il résulte que la suite est fondamentale. Désignons par sa limite. Il est évident que est l’unique solution de l’équation (1) et
(16) |
∎
Alors, en utilisant le lemma on obtient le théorème suivante:
THÉORÈME.
Supposons que et que l’on donne les méthodes itératives de la forme (4), attachées à .
Remarques.
1) Parce que, de la il résulte que est une contraction, avec la constante de Lipschitz , il est clair que la méthode itérative
(17) |
converge vers la solution de l’équation (1). De plus, nous avons
(18) |
Nous démontrerons que , où a est la solution de l’équation (7), avec données par la formule (11′).
On a:
d’où il résulte que .
Soit maintenant et. Les formules (16) et (18) valables pour une métrique quelconque et pour chaque paire avec les propriétés ci-dessus, nous montrent que pour la méthode itérative (17) on obtient une délimitation de l’erreur meilleure que dans le cas des autres méthodes de la forme (4). Ceci ne signifie pas que pour chaque choix des points initiaux et chaque aplciation la méthode (17) converge plus vite que toutes les méthodes itératives de la forme (4).
Soit, par example,, . On a
pour chaque ; et.
Exemple.
Soit
Soit
(22) |
(23) |
(24) |
Dans ce cas on obtient respectivement les formules:
(22′) |
(23′) |
où a est la racine positive de l’équation , c’est-à-dire . De la même manière on obtient
(24′) |
ou est la racine positive de l’équation caractéristique c’est-à-dire . Il est clair que
Bibliographie
-
[1]
I. Păvăloiu,
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clickable Introducere în teoria aproximării soluţiilor ecuaţiilor, Ed. Dacia, Cluj-Napoca, 1976. - [2] I. Păvăloiu, Rezolvarea ecuaţiilor prin interpolare, Ed. Dacia, Cluj-Napoca, 1981.
- [3] Weinischke, J. H., Uber eine Klasse von Iterationsverfahren, Num. Math., 6 (1964), 395–404.